mercredi 1 juillet 2020

Bannière numéro 83

Et non, vu la couleur, pas d'allusion à "la vague POLITIQUE verte" du moment dans cette bannière de juillet... 

"L'écologie sans lutte des classes c'est du jardinage"



La machine Capitale est bien repartie en marche...

Dans une lutte , le choix d'un temps pour les batailles a une importance capital. Même dans un temps plus calme en surface le son criant de nos entrailles, murmure de plus en plus à leurs oreilles que, même plus ou moins effacé de nos rues, la colère face à l’oppresseur, qui anime des combats pour un monde plus juste, plus raisonné, n'a que rarement était aussi présente dans l'Histoire du peuple de France. 

#brisonsnosentraves!!!

PS : "brisons nos entraves" est tiré des parole de l'Hymne des MLF (l'Hymne des femmes) écrite en mars 1971 par des militantes féministes, en mémoire et à l'honneur des femmes de la Commune de Paris (débutant 100 ans plus tôt, en mars 1871, et qui prit fin au bout de deux mois par la "semaine sanglante"). 
Une chanson féministe, oui, mais pas seulement. Une chanson en l'honneur de (femmes) en révolte. 
Seul la lutte des classes pourra nous permettre de changer notre monde en brisant nos entraves, (entraves nécessaire aux force dominantes, pour profiter, tout en amenuisant le risque de protestations, car il nous sait prisonnier, par cette société capitaliste, du besoin de revenu, etc...). 
Une lutte nécessaire dans ce monde qui pourrit de plus en plus vite, jours après jours. 
Une lutte nécessaire pour pouvoir reconstruire le monde autour de sa propre nature comme de la notre et tenter d'en faire un monde juste.