mardi 16 décembre 2014

Ashley Wood

Artiste australien reconnu dans le monde entier, Ashley Wood est l’une des figures les plus singulières de l’univers contemporain des comics. 



































Maître du clair-obscur, du flou expressionniste et de la déglingue pure, il ne cesse d’étonner par ses créations sensuelles et folles. 

















































Détenteur de prix prestigieux tels que trois Spectrum Awards, deux Communication Art Award et nommé aux Eisner Awards, Ashley Wood est un artiste multiforme, un créateur d’univers qui assure lui-même la conception, la direction artistique et la production de ses créations. 



















































Il a su imposer son style proche de l’impressionnisme et devenir un acteur incontournable de la scène alternative en bande dessinée. Graphiste, peintre, on retrouve aussi ses créations dans le jeu vidéo , la BD, les comics et les objets 3D à travers ses propres structures : "World of 7174" et "ThreeA". 




















































Bon à savoir pour noël, "3A" est une entreprise de jouets, de haute qualité fondée en 2008 par Kim Fung Wong et Ashley Wood. On y retrouve des univers d'Ashley Wood tel Popbot, mais aussi des franchise avec lesquels il a pu travaillé au part avant comme Metal Gear Solides et depuis quelques jours maintenant : Transformers. 















































Il travail ses peintures à l’huile sur des supports aussi variés que le bois, le médium ou la toile, avec des formats allant d’une vingtaine de centimètres à plus d’un mètre cinquante. 


















































On trouve beaucoup de jeux de lumières, d’ombres et de flous dans son travail. Il dit que cela proviens pour lui d'un manque de technique et d'une certaine timidité dans son trait. Depuis il a appris à rendre ses traits beaucoup plus concret à travers des artiste du comics mais surtout des illustrateur de bande dessiné européenes aux trait bien affirmé.












































Il aime dessiner directement à l'encre de chine, sans crayonné préparatoire. Il est admiratif du talent de Dave McKean et de son audace dans ses techniques. 



























































Il adore également l'élégance et la force de Frazetta et c'est beaucoup inspiré de Jeffrey Jones, notamment dans la construction de ses peintures. Il s'en inspira également dans sa technique pour luter contre un de ses démons : la couleur, c'est ainsi qu'il s'est restreint à trois d'entre elles. 
































Dans le même esprit il peint directement sur le canevas, en gardant en tête que tout peut changer. C’est parfois impossible de reproduire exactement son idée sur la toile, c'est pourquoi il ne gâche pas toute son énergie dans un croquis préalable et évite ainsi l'aspect redondant de reproduire ça sur toile. 






































































































Il aime juxtaposées les machines très puissantes et dynamiques avec la féminité pour opposer sensualité et froideur, pureté et oppression.